La Presse

Festival d’Aurillac, les coups de coeur du Off
Invité par la municipalité, le Vipères assassines fan club, une association de sept femmes musiciennes éperdument amoureuses des bandes originales des films de Quentin Tarantino, joue ces musiques devenues des classiques, à l’occasion de l’inauguration d’un parc au nom de ce dernier. Dans ce spectacle déjanté, qui dépasse aisément les limites d’un simple concert, toutes incarnent une figure féminine emblématique des films du réalisateur à succès. Mais tout ne se passe pas comme l’aurait espéré David Furgé, en charge du service culturel de la Ville et de l’organisation de l’événement… Une performance entraînante et pleine d’humour. 
La Montagne / Aurillac – 28 Aout 2017

 

 

Tarantino, l’intégrale
Jackie Brown en guitariste déchaînée, Beatrix Kiddo, la mariée de Kill Bill, sortie tout droit de sa chapelle d’El Paso ou encore Mia presque flanquée de Vega, et tout ça sur la même scène pour une grand’messe à l’intégrale de Tarantino ! C’est un concert des Vipères Assassines et c’est complètement fou. Comme dans un scénario de Tarantino, le tout débute innocemment avec la simple inauguration d’une salle, au nom du cinéaste, et dégénère en concert sauvage, les cadavres en moins. Toutes les scènes cultes de la filmographie de Tarantino défilent sur scène avec ces sept filles dont chacune représente une icône d’un des films et on se retrouve face à une comédie musicale de poche totalement déjantée. Toute ressemblance avec le Détachement International des Vipères Assassines, organisation originelle de Beatrix Kiddo, n’est certainement pas fortuite. Et en sortant de là, on a une furieuse envie d’enquiller la bande originale de Pulp Fiction dans l’autoradio !
l’Alsace / Huningue – 1er février 2016

Jacqueline Cambouis rend hommage à Quentin Tarantino dans un son et lumière déjanté animé par son groupe tumultueux:  «Le Vipères Assassines Fan Club». Le genre de tribu qui pratique l’humour dans un esprit pour le moins décalé. Une infirmière borgne au trombone, une jeune mariée en robe blanche à la clarinette, une petite écolière à la batterie… Le FCVA vous replonge à sa manière dans l’univers de «Kill Bill» et de «Jackie Brown» grâce à une mise en scène délirante et des chorégraphies d’une absurdité virtuose.
/ Huningue – 30 Janvier 2016